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Chacun semble avoir sa vision propre de ce qu’est la modernité, une notion pourtant mal définie. Elle est d’autant plus subjective qu’elle semble liée à une certaine idée du progrès, concept également complexe. Les tours ont longtemps été le symbole d’une certaine modernité, liée au progrès technique. La hauteur des bâtiments était parfois assimilée à  la grandeur d’une civilisation.


En plus d’être subjective, la modernité est une notion mouvante selon les époques. Elle a une relation particulière avec le temps, elle est souvent comprise comme l’inverse de l’ «ancien». Cela expliquerait pourquoi les tours des sièges sociaux des grandes entreprises sont rénovées tous les 25-30 ans.


Pourtant, imaginer des villes dites “durables” est une préoccupation majeure des urbanistes. Or les tours ne semblent répondre qu’au besoin d’esthétisme en ville. Comme le dit l’urbaniste Michel Cantal-Dupart les tours ne sont pas « une façon intelligente et maligne de répondre à la ville. C’est une façon esthétique et purement esthétique. »


Alors en quoi la tour Hélice répond-elle aux idéaux de changements de notre époque ? Peut-on dire que la tour Hélice est réellement moderne au XXIe siècle ?

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Une tour pas si verte

Une tour dans la ville


Tours, une modernité datée

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"Une tour ça vide"

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